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tim-italiano

7 août 2008

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LES SUJET SUIVANTE

  • les paranormaux

  • affaire mystérieuse

  • science(galaxy)

  • la fin du monde

  • DANS LES PROCHAIN JOURE VISIBLE

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    6 août 2008

    LE MONDE

    SOMMAIRE:

    • ACTUALITE DU JOUR

    • VOTRE HOROSCOPE(jr-semaine-amour)

    • le 21éme siécle et sa technologie

    • la guerre du kosovo en 1999(people albania)

    • l'independence du KOSOVO le 17-02-2008

    • les paranormaux

    • affaire mystérieuse

    • science(galaxy)

    • la fin du monde

    Jeudi 7 août 2008

    La flamme olympique poursuit sur la Grande Muraille de Chine son ultime relais avant l'ouverture des Jeux de Pékin. /Photo prise le 7 août 2008/REUTERS/Joe Chan

    JO: la flamme poursuit sa route sur la Grande Muraille

    Reuters - il y a 52 minutes

    BADALING, Chine (Reuters) - La flamme olympique poursuit sur la Grande Muraille de Chine son ultime relais avant l'ouverture des Jeux de Pékin. Lire la suite »

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    LE 21ÈME SIÈCLE ET SA TECHNOLOGIE

    Les grands traits de l’évolution actuelle

    Le monde, aujourd’hui modelé par les avancées de la science et des apports technologiques, se caractérise par l’émergence de nouvelles formes sociétales, de complexité croissante : "networked society", auto-organisation. Plus augmente la taille des sociétés humaines, qui sont des systèmes non-linéaires, plus s’accroît cette "non-linéarité" ; fluctuations et instabilité s’amplifient ; par voie de conséquence, symétrie et équilibre sont des notions à rejeter dans la façon d’appréhender cette réalité. Les visions déterministes de la nature ont dès lors fait long feu, au profit d’un schéma d’explication rationnelle de type probabiliste. L’univers en ce compris l’espèce humaine est seulement une des réalisations possibles des lois de la nature : "the possible is richer than the actual." (I. Prigogine) Cette complexité croissante est également la marque des régions en développement où une série de problèmes ont acquis une acuité de plus en plus grande : pauvreté, défaut d’accès à l’eau potable, aux soins de santé, à l’éducation, pollution, déboisement, désertification, exploitation des enfants, migrations, conflits, analphabétisme, isolement, marginalisation, déséquilibre Nord–Sud quant à la production et l’utilisation de la science et des connaissances technologiques sont autant de facteurs d’instabilité et d’antagonismes qui menacent notre "village planétaire" selon l’expression de MacLuhan. Cette disparité entre le Nord et le Sud est attestée par. ex. par le fait qu’en 1997 on dénombrait 442 sites Internet pour 1 000 habitants aux Etats-Unis, 76 au Japon, 50 en France mais seulement 4,2 au Brésil, 1,8 en Colombie, 0,05 en Inde. Autre illustration : alors que 90 % des publications scientifiques proviennent du Nord, 10 % sont produites par le Sud dont à peine quelque 0,7 % par l’Afrique.

    Un tel contexte exige la mise en oeuvre de nouveaux concepts et de nouvelles méthodologies. Et ce d’autant plus que la science est devenue ambivalente, aussi bien dispensatrice d’effets bénéfiques que d’effets pervers. En effet, les capacités actuelles de la science en matière d’exploration du devenir, d’amélioration de la qualité de vie au Nord comme au Sud, de circulation de l’information, de participation citoyenne, de promotion de la paix et de l’équité, se heurtent de fait à une série de freins, voire d’obstacles : diktat de la logique du temps réel, limite du champ de vision à un horizon de court terme, retombées possibles du génie génétique sur l’homme, cloisonnement des disciplines, hyperspécialisation, exode des cerveaux.

    En matière de technologie de communication et de diffusion de l’information les dangers sont : la surabondance de l’information devenant ingérable et augurant d’un retour à l’argument d’autorité, la monopolisation par les grandes entreprises privées des autoroutes de l’information, la mercantilisation des objets culturels, la déficience du contrôle portant sur la qualité et l’objectivité des données transmises... La question posée est dès lors : la science pour quoi faire ? Car il résulte des mutations en cours que l’actuelle génération s’arroge des droits sur les générations futures. La réponse à ce questionnement couvre divers domaines.

    Informatique

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    Les défis et les dangers auxquels la science est confrontée       Back to top

    L’emprise de la science et des innovations technologiques
    sur la société d’aujourd’hui
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    Rapport

    Nouveaux jouets : le choc de la technologie

    Les jouets ont évolué depuis les Legos (qui sont encore utilisés). Les fabricants de jouets ont suivi la même voie pour réaliser un Furby amélioré, une peluche Elmo avec reconnaissance et mémorisation de l'utilisateur et d'un autre chien robotique, ainsi qu'un logiciel de création musicale, pour cette saison, en attendant de pouvoir l'utiliser pour des jeux et des DVDs.

    Quel est votre avis?

    «Fusionman», premier homme volant à réaction!

    Midi et quart passé de quelques minutes. Soudain, un point noir se détache à grande vitesse du Pilatus PC6 qui survole l'aérodrome de Bex à près de 2500 mètres du sol. Yves Rossy vole! Les premières exclamations viennent rompre le silence qui s'est installé depuis un bon quart d'heure sur le terre-plein aménagé pour la presse et quelques observateurs privilégiés en contrebas de la Croix de Javerne, à 2100 mètres.

    Mi-rapace, mi-avion

    A l'oeil nu ou à l'aide de jumelles, chacun cherche «Fusionman» sur fond de plaine du Rhône. Pas facile. Mais à mesure que le nouvel Icare du XXIe siècle se rapproche, à plus de 200 km/h, chacun réalise que l'impensable est en train de devenir réalité. Avec ses allures de rapace croisé avec un avion de chasse, le pilote, 48 ans, réalise plusieurs passages grâce à son aile en carbone munie de quatre réacteurs. Venus de Suisse, de France, d'Angleterre, d'Allemagne, de Russie, du Japon et de Corée, les dizaines de cameramen et de photographes s'en donnent à coeur joie.

    De son côté, Paule Rossy suit fièrement son fiston des yeux, la première fois en situation réelle. Anxieuse? «Je lui ai toujours fait confiance, confie-t-elle calmement. C'est la meilleure politique, et pour lui et pour moi.» Gérard Sermier, lui, exulte sans retenue: «Vous imaginez: l'année dernière, au Salève, nous avions dû tout annuler à cause de la météo. Une autre fois, une aile avait lâché et là, tout est parfait. C'est magnifique!» s'exclame le chef de presse de la journée. Après un peu plus de six minutes de vol, le ballet aérien cesse, faute de carburant. Yves Rossy peut ouvrir son parachute et rejoindre l'aérodrome de Bex en douceur. C'est l'heure des félicitations de maman et de Jean-Claude Biver, le très médiatique patron des montres Hublot, sponsor de l'aventure de son «ami Yves».

    Le héros du jour peut alors livrer ses impressions d'homme volant: «Tout s'est bien passé. J'ai juste eu un problème de réacteur au démarrage, mais j'ai pu compter sur un de mes ingénieurs.»

    Au chapitre de l'avenir proche, Yves Rossier a les idées claires: «Je vais me concentrer sur des entraînements à distance, entre deux montgolfières éloignées de 35 kilomètres. Pourquoi cette distance? Parce que c'est la largeur de la Manche que j'entends traverser cet automne dans le sens France-Angleterre.

    Quel est votre avis?


    la guerre du kosovo

    Le conflit entre les 2 principales communautés du Kosovo (Serbes et Albanais) est lié à leur conviction mutuelle d’être les seuls occupants légitimes de cette région.

    Du côté serbe, le Kosovo est décrit comme le « berceau de la Serbie », car il en était, entre le 11ème et le 15ème siècles, le centre politique (Pristina), économique (mines de Novo Brdo), et spirituel (monastères de Peć, de Dečani, de Gračanica et bien d’autres).
    Toutefois, le terme de « berceau de la Serbie », inventé au 19ème siècle seulement, est abusif, car les Serbes, installés dès le 7ème siècle en
    Bosnie et dans l’ouest de la Serbie actuelle (Rascie), ne conquirent le Kosovo qu’au 11ème siècle.
    De leur côté, les Albanais se considèrent comme les descendants des peuples
    illyriens qui occupaient la région comprise entre la Grèce et la Slovénie, avant l’arrivée des Slaves, et incluant l’actuel Kosovo (Dardanie, en illyrien). Les Albanais estiment donc avoir été victimes d’une occupation militaire à partir de l’installation des Serbes au Kosovo.
    Là encore, il faut corriger ce point de vue. D’une part, les peuples Yougoslaves descendent eux aussi des peuples Illyriens, qui furent en grande partie slavisés ; d’autre part, l’installation des Slaves dans les Balkans s’est faite de manière pacifique et progressive, sans que l’on retrouve la trace d’éventuels conflits avec les Illyriens.

    Le conflit débute en 1996 avec la création de l'« Armée de libération du Kosovo » (ou UCK), qui amorce une campagne de terrorisme en assassinant des dirigeants, des policiers et des gardes-frontières serbes, ainsi que les Albanais collaborant avec le régime. Les Serbes ont alors pris de sévères contre-mesures policières et militaires. Le point tournant est survenu en mars 1997, lorsque le gouvernement de l'Albanie s'est effondré à la suite d'opérations financières pyramidales ratées. Des arsenaux ont été pillés et ces armes se sont invariablement dirigées en grand nombre vers le Kosovo, où l'UCK naissante livrait aux autorités serbes une véritable guerre d'indépendance.

    1999. On commence à en parler dans les journaux. La province du Kosovo en Ex-Yougoslavie est en plein génocide. Les réfugiés Albanais arrivent en masse dans les pays limitrophes. Le Monténégro, l'Albanie, la Macédoine et la Bosnie, entre autres, ne savent plus que faire de ces gens qui arrivent de tout le Kosovo. Cette nouvelle épuration ethnique rappelle de mauvais souvenirs : ceux de la Bosnie et de la Croatie. Le camp de Kukës, tristement célèbre, regorge de réfugiés. L'aide humanitaire qui afflue de partout est insuffisante. Pour faire face aux Serbes qui massacrent les Albanais du Kosovo, l'OTAN menace d'intervenir… et intervient le 24 mars 1999.

    Pourtant, cela fait déjà un moment qu'il se passe des choses à Kosovo polje. En 1992, les Kosovars élisent un Parlement et un président, Ibrahim Rugova. Belgrade déclare l'élection illégale. En 1997, les Albanais défilent à Pristina pour réclamer le droit d'étudier dans les écoles publiques. La police serbe s'oppose aux Albanais dans la Drenica deux mois plus tard. L'année suivante, dès le mois de Mars, la même région est le théâtre des premières attaques massives des forces serbes. Les forces spéciales Yougoslaves occupent le Kosovo. L'UCK, armée de libération du Kosovo, lutte contre les forces serbes. Défaite, elle tente malgré tout de garder un corridor d'approvisionnement en armes. Sous la menace de frappes aériennes de l'OTAN, Milosevic est contraint d'accepter la réduction des forces armées au Kosovo. L'OTAN obtient de la Macédoine l'installation d'une " force d'extraction " au cas où les vérificateurs de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) seraient menacés au Kosovo. Il faudra attendre le massacre de 45 civils Albanais à Racak par les forces serbes en janvier 1999 et la découverte des " charniers " pour secouer l'opinion publique. Les pourparlers de Rambouillet entre Kosovars Albanais et Serbes sont des échecs. Le 24 mars voit le début des bombardements de l'OTAN sur la Yougoslavie. De son côté, le Tribunal Pénal International inculpe Milosevic de crime contre l'humanité.

    image du massacre au kosovo(interdi au moin de 15ans) :voir+

    Massacre at Racak, January 1999

    voir+d'image

    la serbie est le demon qui a fait tout ces massacre dans un petit pays telle que le kosovo.ils ont massacré des femme et des enfant innocente.


    indépendance du kosovo(17-02-2008)

    Les Albanais du Kosovo vont faire la fête toute la nuit. Mais leur bonheur d’accéder ce dimanche à l’indépendance fera-t-il de nouveau le malheur des Balkans? Leur proclamation unilatérale d’indépendance, soutenue par une partie de l’Union européenne et les Etats-Unis, rouvre-t-elle la boîte de Pandore mal refermée de l’ex-Yougoslavie? Le dossier est complexe et à plusieurs dimensions.

    1 Le statut légal

    L’indépendance du Kosovo n’est pas de même nature que celles qui l’ont précédée dans l’éclatement de la Yougoslavie dans les années 90 et 2000. La Slovénie, la Croatie et les autres, jusqu’au Monténégro, le dernier à avoir rompu avec la Serbie en juin 2006, étaient des Républiques fédérées au sein de l’ex-Yougoslavie. Alors que le Kosovo était une Région autonome à l’intérieur de la République de Serbie. Ca n’est pas qu’une nuance: dans un cas, il s’agit d’un divorce entre entités qui avaient été artificiellement mariées, de l’autre, les Serbes ont le sentiment qu’on leur arrache une partie d’eux-mêmes.

    D’autant plus que par une ironie cruelle de l’histoire, c’est dans cette petite région du Kosovo (à peine 11000 Km carrés) que se situe un des mythes fondateurs de leur histoire, la bataille de Kosovo Polje, en 1389, entre les Serbes et l’empire Ottoman, un équivalent serbe du Vase de Soissons pour les Français… Au fil des siècles, toutefois, les populations d’origine albanaise sont devenues majoritaires au Kosovo, bien que ce soit le coeur spirituel de la nation serbe. Ils constituent aujourd’hui plus de 90% des deux millions d’habitants du Kosovo, une proportion qui a augmenté après la fuite de plus de 200000 Serbes lors de la guerre de 1999.

    Cette différence de statut entre la République fédérale de Slovénie, la première à quitter la Yougoslavie en 1991, et la Région autonome du Kosovo qui se sépare dimanche de la Serbie, explique la montée brutale de tension, alors que, par exemple, la sécession du Monténégro, il y a moins de deux ans, s’est déroulée sans le moindre soubresaut. Même si, au-delà de la dimension légale et du statut, c’est la même logique de séparation et d’émergence d’entités étatiques « ethniquement pures » (brrr) qui est en marche.

    2L’histoire récente

    Contrairement aux autres Républiques issues de l’ex-Yougoslavie, qui ont acquis leur indépendance à l’issue des guerres des années 90, ou par un divorce relativement à l’amiable dans le cas du Monténégro, l’indépendance du Kosovo est l’aboutissement d’une défaite mal digérée par la Serbie lors de l’intervention de l’Otan en 1999, et restée sans issue légale claire. Depuis, le Kosovo vit sous administration des Nations Unies et sous protection de la KFOR, la force de l’Otan. Toutes les négociations sur un statut définitif du Kosovo ont échoué, malgré les médiations internationales. Entre l’exigence des Albanais du Kosovo d’accéder à l’indépendance, et le refus catégorique de la Serbie, même post-Milosevic, il n’y a eu aucun compromis possible.

    De manière prévisible, donc, la Serbie s’oppose bec et ongle à cette indépendance. Des manifestations de protestation ont eu lieu à Belgrade derrière une grande banderole proclamant « il restera à nous ». Les Serbes se solidarisent en particulier avec les quelque 120000 Serbes qui vivent encore au Kosovo, dans des enclaves protégées par la KFOR. Le nouveau Kosovo promet un respect des droits des minorités, mais les Serbes redoutent que leurs relations, déjà tendues, avec la majorité albanaise, ne devienne intenable une fois le cordon rompu avec la « mère patrie » serbe. Un cocktail dangereux puisque c’est le sort de la minorité albanaise de Serbie qui a provoqué la guerre du Kosovo en 1999, et certains redoutent que l’inversion des rôles ne débouche un jour, sinon sur une guerre, au moins sur une montée des violences.

    3Le contexte diplomatique

    L’indépendance du Kosovo provoque de nouvelles grandes manoeuvres diplomatiques, et constitue un nouveau test à la fois de la cohésion de l’Union européenne, mais aussi des relations entre les Occidentaux et la Russie. L’UE, autre ironie de l’histoire, est actuellement présidée par la Slovénie, la République qui a donné le coup d’envoi de l’éclatement de la Yougoslavie en 1991… La majorité des Etats de l’UE s’apprête à reconnaître le Kosovo indépendant, « une responsabilité européenne », selon l’expression de Bernard Kouchner, lui-même ancien Représentant de la Communauté internationale à Pristina. Mais il n’y aura pas unanimité des « 27 »: la Grèce s’oppose farouchement à cette démarche, au nom d’une solidarité orthodoxe et, sans doute, de craintes pour ses propres tentations séparatistes internes. L’Espagne est plus que réticente pour les mêmes raisons de séparatisme, craignant un précédent pour le pays basque ou la Catalogne. Mais il n’y a pas, au sein de l’UE, le climat de crise qui avait tant pesé en 1991, lorsque la France et l’Allemagne s’opposaient sur la reconnaissance de la Slovénie et de la Croatie. D’autant que les reconnaissances se feront sur une base bilatérale et pas collective, histoire de ne pas trop mettre en avant les divisions persistantes. L’Europe s’est toutefois mise d’accord pour dépêcher au Kosovo une force de police de 2000 hommes pour cette période de tensions.

    La Russie est elle aussi farouchement opposée à l’indépendance du Kosovo. Pendant la guerre de 1999, elle s’était déjà opposée à l’intervention de l’Otan. Aujourd’hui, dans une phase de réaffirmation de sa puissance avec Vladimir Poutine, elle hausse le ton, même si elle n’a que peu de moyens de s’opposer à cette indépendance qui, déclarait récemment le ministre russe des Affaires étrangères, « saperait les fondements de la sécurité en Europe ». Moscou convoquera sans doute une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU pour marquer sa mauvaise humeur, mais cette instance est paralysée par le retour des politiques de grandes puissances, et ne sera certainement pas en mesure de décider quoi que ce soit. Cette affaire obscurcit un peu plus les relations entre la Russie et les Occidentaux, mais ne provoquera assurément pas la rupture.

    4Rester vigilants

    Dans les Balkans, il faut se méfier des menaces d’en découdre: ne pas les prendre au sérieux risque de permettre le pire. Mais il ne faut pas non plus surestimer la théâtralisation des antagonismes.

    En 1991, le reste du monde n’avait pas voulu voir les signes avant-coureurs de ce qui allait suivre, c’est-à-dire une décennie de massacres, d’épuration ethniques, de violations flagrantes des droits des minorités. Les signes étaient pourtant là. Un modeste témoignage: en janvier 1991, je me trouvais à Belgrade pour « couvrir » une réunion de la dernière chance destinée à éviter le déclenchement de la première guerre du Golfe. Pendant que les ministres négociaient, je discutais avec plusieurs journalistes yougoslaves. Un Croate me confiait qu’on le traitait de « fasciste » et d‘« Oustachi » (les collaborateurs croates des nazis) lorsqu’il arrivait à Belgrade… Un correspondant de la BBC me racontait que ses deux derniers dîners avec des Yougoslaves de différentes origines s’étaient terminés en pugilat… Une journaliste bosniaque musulmane me disait qu’elle se sentait « yougoslave » et pas « Musulmane », mais qu’ils étaient sans doute dix dans tout le pays à penser comme ça! Je ne comprenais rien à ce qui se passait, obnubilé par ce qui me semblait beaucoup plus grave, la guerre qui menaçait dans le Golfe. Quelques mois plus tard, la guerre éclatait dans les Balkans pour ne s’arrêter que des années après, et un éditorial du New York Times résumait mon sentiment: faisant le même constat que moi, il soulignait que le monde n’était pas capable de gérer deux crises à la fois, et n’avait pas su empêcher celle des Balkans. En ira-t-il autrement cette fois au Kosovo?

    Il appartiendra effectivement à l’Europe de servir de force de stabilisation, de force tampon pour empêcher les débordements, qu’il s’agisse du sort des Serbes du Kosovo qui ne doivent pas subir aujourd’hui ce qu’ils faisaient eux-mêmes subir aux Albanais…, ou les relations volatiles entre le Kosovo et la Serbie. Assurément, à défaut de réconcilier l’irréconciliable, les forces d’interposition de l’Otan sont là pour longtemps

    quelque image du bonheur de l'independance d'un peule qui meritent leur bonheur! :

    Drapaux albanais

    voir video des albanais au Etas unis fété leur independance

    voir video des albanais en Allmagne fété leur indépendance

    voir video des albanais en france fété leur independance(lyon)

    voir video des albanais en france fété leur independance(orleans)

    voir video des albanais en italie fété leur independance

    voir viedo des albanais en belgique fété leur independance

    voir video des ablabanais en suisse fété leur independance

    voir video des albanais au kosovo fété leur indépendance dans leur pays le KOSOVO

    voir video des albanais de l'albanie fété l'indépende des fréres albanais du kosovo

    voir video des albanais à londre fété leur indépendance

    les deux drapau du kosovo:

    <<depuit le 17-02-2008

    VIVRE LE KOSOVO AINSI LE PEULE ALBANAIS DU KOSVO !

    ET

    VIVRE LES FRERE ALBANAIS DE L'ALBANIE !


    5 août 2008

    créateur du blog : tim 18ans italien albanais

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